
L'assurance habitation
L'assurance habitation : ce qu'il faut savoir pour souscrire à deux
Comment souscrire une assurance habitation lorsqu'on est en couple ? Quelles sont les règles ?
L'assurance habitation, aussi appelé MH est obligatoire pour tout type de logement que vous soyer locataires ou propriétaires. Elle vous permet de couvrir votre logement en cas de sinistre. Elle permet aussi d'être indemnisé par la compagnie d'assurance et couvre la responsabilité civile en cas d'accident impliquant un tiers.
Comment fonctionne-t-elle quand on est en couple ? Doit-on souscrire un ou deux contrats ?
Pour bien protéger les habitants d'un bien immobilier, le contrat d'assurance habitation doit être adapté à chaque situation familiale. Au moment de la signature du contrat, il est impératif de déclarer à votre assureur le nombre exact de personne au sein de votre foyer.
Attention, lorsque votre situation évolue (mariage, concubinage ou pacs, agrandissement de la famille...) pendant le contrat, il faut l'indiquer à l'assureur afin qu'il fasse les ajustements nécessaires dans votre contrat, et assure ainsi une protection optimale à tous les occupants du logement.
En effet, l'installation ou le départ d'un conjoint en cas de séparation augmente ou diminue le risque à couvrir.
Le statut de couple n'a aucune incidence sur le montant de la cotisation. En revanche, plus il y a de personnes à couvrir, plus le montant est élevé.
Propriétaire / locataire, comment ça marche ?
Lorsqu'on est en couple et propriétaire, seul un membre du couple signe le contrat, il est donc à son nom. Il doit déclarer son conjoint en tant que bénéficiaire pour qu'il soit lui aussi assuré en cas de sinistre.
En colocation, que l'on soit en concubinage, pacsé ou marié, on a le choix entre souscrire deux contrats individuels ou un contrat unique à condition de déclarer là aussi le conjoint en tant que bénéficiaire.


Estimez gratuitement votre bien
Découvrez nos dernières offres immobilières disponibles.


Milla ARDOUIN
Assistante
Publié le 14/06/2023 par
Milla ARDOUIN